Libération, 22 octobre 2017 «Pourquoi consacrer une somme à l’histoire et aux civilisations (vous insistez sur le pluriel dans le titre) du Soudan ? — Par amour pour un pays vivant, méconnu, souvent considéré comme une « annexe » de l’Égypte, dont on ignore la richesse culturelle et dont, généralement, on n’entend parler qu’à l’occasion de drames humains […]. Nos connaissances sur de nombreuses périodes historiques ont été renouvelées. Or il n’existait aucune synthèse récente et complète […]. La recherche archéologique récente a également permis de préciser l’ordre des souverains de Koush et l’attribution des temples et des monuments funéraires. Ces datations sont essentielles dans la mesure où [il n’existe] aucune « chronologie relative » fiable […].

couverture Histoire et civilisations du Soudan
Fréquence protestante